Alors que un peu partout, dans la grande cité de Dras-Leona, des volets s’ouvraient sur la tranquille nuit de ses habitant. Les volets branlant de l'auberge du poney boiteux laissé malheureusement filtrée quelque lumineux rayon de soleil. L'un d'eux vint chatouiller le visage de Einkil. Il ouvrit péniblement les yeux dans le brouillard.
Il finit finalement par se redressait doucement se glissant hors des couvertures. Assit sur le bord du lit de paille il se frottait péniblement les yeux en baillant. Il inspecta les fond de chope posait à coté du lit dans l’espoir d’y trouver quelques gouttes. Il fut satisfait à la huitième et dernière chope ou il put engloutir quelques gorgées en guise de petit déjeuné. Voilà bien longtemps qu'il ne s'était pas lever si tard...
Il faut dire que pour Einkil, il n'était pas au meilleur de sa forme, il était sans emplois et s'ennuyait à mourir, sa seul occupation dans cette grande cité était de partir gravir les sommets d’Helgrind la journée, et de chercher un employeur le soir, au meilleur endroit pour ça : une tavernes. Mais soit les pierres précieuse et objet magique avaient disparus de la surface de la terres, soit le peu d'employeurs de cette grande cité avait déjà trouver un brave guerrier pour les servir : plus...grand.
Einkil retrouvant peu à peu l'usage de ses yeux et ses pensées sortant du brouillard, il jeta un oeil sur ses vêtement jeter au pied du lit. Le gel avait fait éclater son armure de cuire, et son casque était fendu par un coup de hache troll, sa hache était vieille et rouillée. Soupirant Einkil se leva il enfilât son pantalon de toiles déchirée sur le coté, il mit les pieds dans ses bottine. Il n’avait déjà plus de veste, et son armure n’avait plus aucun intérêt. Il plongea les mains dans son sac de tissus et en sortit cinq poignées de pièce diverse. Il compta rapidement, il laissa quelque une d’entre elle et remit le reste dans son sac. Puis il tourna la tête fixant le corps dénudé d’une serveuse de la taverne que le patron avait poussée dans son lit. C’était une somptueuse humaine plus petite que la normal bien entendu mais pas moins fine et élégante. Le patron devait sans doute voyager prochainement, car il avait insisté sur le faite que Einkil devait parler de sa gentillesse à sa tribu : tu parle encore un touriste qui voulait piller les armes naines en échange de misérable pièce juste parsequ’il est soit disant gentil.
Pauvre humaine que d’être à la solde d’un escroc dans son genre. Einkil rajouta quelque pièce sur l’oreiller à coté de la serveuse. Il ne lui restait déjà plus que deux cent pièces
Einkil laissa dans la chambre son armure et son arme, de toute façon elle ne valait plus rien. Il avait réglé sa nuit et il ouvrit une petite fenêtre qui donnait sur la rue. Il s’y glissa jetant avant lui son sac et son bouclier. Il atterrit lourdement mais sans se blessé. Il jeta son sac sur son épaule nu et saisi son bouclier mais la poigné lui resta dans les mains. Jetant un regard dédaigneux sur l’état miteux de ses bottines et le bouclier gisant toujours au sol, il soupira. C’était vraiment la décadence ces dernier temps, il laissa son bouclier au milieu de la rue, et se dirigea en direction des commerce.
En premier lieux il lui fallait une arme, il s’approcha d’un armurier avec le sourire niet.
"Ola mon brave ! Combien vaut cette hache ?"
"Ha cette merveille, c’est un chef d’œuvre de nos ouvriers, la lame est fine, bien équilibré, le manche et leger mais très résistant elle aurait des vertus magique"
"Tu te fou de ma gueule, sa pour sure c’est une bonne hache mais elle est naine, Et surement pas magique...Combien ?"
"342 pièces"
"Knurlnien !!! "
Jura t’il et parti dans un flot de jurons beuglait dans sa barbe !
Finalement Einkil dut se rendre à l’évidence les prix avait augmentait, et ici il ne bénéficier pas de l’amitié fraternel naine. Il dépensa la quasi-totalité de son argent pour un équipement misérable, mais palpable au moins : Une hache de fer et une veste de toiles. Franchement qui embaucherais un misérable pareil.
Finalement Einkil fixa sa hache avec une simple lanière de cuire trouvé par terre et il se mit à marcher se laissant réveiller par la fraîcheur matinal.
Quelque minute plus tard il se faisait percuté par un voleurs qui semblait vouloir prendre la fuite poursuivit par deux gardes …